Mots-clés : Aménagement du territoire, Emploi, Enseignement
13-19 Novembre 1980 • J.P Jeffroy, G.Desbois, Bernard Ravenel
Ce numéro spécial de T.S. Hebdo est consacré au compte-rendu de la Conférence nationale des 8, 9, 10, 11 Novembre à Orsay. Il comprend :
LES COMPTE—RENDUS DES COMMISSIONS DE TRAVAIL DE LA CONFÉRENCE :
1.Institutions et libertés, 2.Energie, 3.Alternatives Régionales, 4.Ecole-formation, 5.International/Tiers-Monde, 6.Politique économique et sociale à court terme, 7.Temps de travail, 8.Rapports Hommes/femmes
DES TEXTES DE RÉFLEXION PRÉSENTÉS À LA CONFÉRENCE NATIONALE : 1. Une série de textes présentés par la Commission Immigrés, avec en particulier la prise de position de J.P.Jeffoy, Conseiller Municipal PSU, J.P. JEFFROY, envoyée aux élus de sa ville, St-Denis, en avril dernier, après une délibération du Conseil Général de Seine-St-Denis et la motion adoptée par la Conférence Nationale sur la politique du PCF et des propositions d’action de G. DESBOIS. Un texte sur le fonctionnement de la Conférence Nationale. adopté par la Direction Politique. Un rapport de B. RAVENEL sur l’Union dans les Luttes
LES DÉCISIONS PRISES PAR LA D.P. À PROPOS DU CONTRAT PRÉSIDENTIEL Texte adopté majoritairement (20 voix)-Texte minoritaire (9 voix) -Amendement au texte majoritaire, repoussé (4 voix)
Cet ensemble de documents, avec la présentation du contrat présidentiel dans T.S. Hebdo n° 871 constitue donc le cadre politique de la campagne du P.S.U. pour les présidentielles de 1981.
Mots-clés : Féminisme
11 au 24 Juillet 1980 • Femmes PSU de Rouen
Un bilan des femmes de Rouen
Le mouvement des femmes n’est ni unanime ni unanimiste, en particulier à Rouen. Plusieurs courants sont en présence à l’intérieur du mouvement des femmes et s’affrontent ou s’ignorent. Depuis octobre 1979, le courant psychanalyse et politique s’est octroyé le sigle MLF. Ceci a provoqué des heurts très violents à l’intérieur du mouvement des femmes notamment à Paris et dans certaines ville de province. A Rouen il n’y a pas eu de heurts mais méfiance et ignorance. La LCR se demande comment restructurer le mouvement des femmes. Cette interrogation est une atteinte à l’autonomie du mouvement car il tente d’élaborer une stratégie externe à un mouvement qui n’est pas structuré, en particulier à Rouen. La richesse du mouvement des femmes réside justement dans cette absence de structure pour lui permettre de garder toute sa spontanéité et sa capacité à proposer des analyses nouvelles. Cependant cette absence de structure pénalise le mouvement dont les décisions prises en AG ne correspondent pas à la réalité de terrain et restent lettre morte. Le collectif féministe contre les violences sexistes se veut une ébauche de structure et s’est mis en place à la suite du procès d’une victime de violences sexistes. Les questions d’organisation du mouvement restent posées et sont ressenties comme lourdes et paralysantes.
Mots-clés : Travail
20-26 Mars 1980 • Secteur Femmes PSU
La réunion nationale du Secteur Femmes s’est tenue les 15 et 16 Mars 1980 à Paris. Elle a rassemblé une quarantaine de participantes. Les travaux de ce secteur ont porté sur la Campagne emploi des femmes, en particulier dans la région Provence Pays Niçois. Le point sur la grève du 7 mars, impulsée par une partie du Collectif de la Marche du 6 Octobre a permis de tracer trois axes de réflexion : rapport entre travail ménager et travail non ménager, renforcement la présence des femmes dans les syndicats, organisation d’un lieu de rencontre collectif pour les femmes. Un travail collectif a permis l’organisation d’un stage qui s’est déroulé sous forme de réunions mixtes et non-mixtes qui donneront lieu à la rédaction d’une brochure pour porter les débats au sein du Parti. Trois groupes se sont constitués pour travailler sur divers thèmes : Histoire et répercussion du mouvement des femmes, le ou la politique dans la vie quotidienne, quotidien au masculin et au féminin. Le groupe qui s’est constitué autour des stages des Guïons n’est pas fermé et tous et toutes peuvent proposer d’autres thèmes de réflexion.