Des militants UNEF interrogent Sempé, Moisan, Effel, Siné, Louis Mitelberg et nous font découvrir le monde des humoristes : leurs aspirations, leurs angoisses, leur travail. Artistes, ils sont les témoins d’un monde en mouvement.
Des militants UNEF interrogent Sempé, Moisan, Effel, Siné, Louis Mitelberg et nous font découvrir le monde des humoristes : leurs aspirations, leurs angoisses, leur travail. Artistes, ils sont les témoins d’un monde en mouvement.
Au Congrès de Dijon, l’U.N.E.F. affirme la nécessité de réfléchir à un programme culturel pour tous qui devrait intégrer l’étudiant dans la cité. Le programme culturel à développer s’oriente vers une organisation ouverte de la culture dans laquelle la participation des membres actifs deviendra un engagement réel et une option politique pour dépasser la simple consommation de ce qui est imposé comme produit culturel. Pour cela il est nécessaire que le mouvement s’inscrive dans la reprise en main des structures socioculturelles, étudie quel pourrait être leur rôle dans leur gestion et leur animation en vue d’une large diffusion de la culture conquise.
Le sous-titre de l’article : « Ou des loisirs pour quelques uns » situe la réflexion de la Commission Loisirs-Culture qui s’est exprimée au Congrès de l’U.N.E.F. à Dijon. Il y a nécessité pour le syndicat d’un débat d’orientation générale sur le rôle et la politique à suivre pour l’organisation des loisirs des jeunes. Ce projet devra être élaboré avec les organisations de jeunesse et les syndicats.
De nouveaux locaux sont mis à la disposition des étudiants. La gestion leur est confiée. Ses moyens techniques et matériels sont très satisfaisants. L’auteur, pose pourtant la question de l’intérêt de cette nouvelle structure si les étudiants n’ont pas le désir d’utiliser ces moyens pour s’ouvrir et exprimer par tous les moyens le monde dans lequel ils vivent.