Mots-clés : Ecole, Enseignement, Syndicalisme
1975 - Oct.-nov.
Cote : PSU-DOC
Série : forces sociales et organisations . Les rapports de force : les élections au conseil de l’enseignement général et technique . Le syndicalisme dans l’éducation nationale. Les débuts ; les tendances et le syndicalisme autonome ; les minoritaires ; les questions posées à la FEN ; le SGEN-CFDT . Le débat CGT-CFDT-FEN
098 / 099
1975 – Oct.-nov.
29,7 x 21 cm, 20 p.
Mots-clés : Dôme, Puy, Syndicalisme
2013
Cote : SYND
Publ.à l’occasion de l’exposition” le syndicalisme à Thiers Puy-de-Dôme: 150 ans d’histoire « Retracer l’évolution du mouvement social sur le temps long et à une échelle départementale et locale répond pleinement à cette fonction de l’histoire, qui consiste à sensibiliser les citoyens aux enjeux de la société contemporaine à partir des éclairages qu’apporte le passé. Les documents et les témoignages exposés ici permettent en effet de voir comment, sur le terrain, les acteurs locaux, parfois oubliés par la « grande histoire », ont été partie prenante de mouvements collectifs inscrits dans des évolutions nationales, voire internationales. Ils sensibilisent chacun d’entre nous à ces interactions complexes entre l’individuel et le collectif, le particulier et l’universel, le passé et le présent – interactions qui constituent le coeur de l’histoire des hommes » Mathias Bernard, historien, Président de l’Université Blaise-Pascal. Saluons au passage le travail mené par le Conseil général depuis 2011 : expositions, conférences-débats, films, spectacles… Cette volonté de restituer l’évolution singulière du syndicalisme dans notre département est une belle initiative !
2013
25 x 24 cm, 81 p.
Département du Puy-de-Dôme
Mots-clés : CGT, Entreprise, Métier, Santé, Syndicalisme, Travail
2013 septembre • BONGIORNO Yves, LE DUIGOU Jean-Christophe, MANSOURI-Guilani, NATON Jean-François, NÉDÉLEC Catherine - LEPAON Thierry (Préf.)
Cote : TRAV
Pour quoi nous travaillons? Dans quel but passons-nous des milliers d’heures à faire en sorte que le produit que nous fabriquons, le service que nous rendons soient bien faits? Pourquoi, malgré tout ce qui l’entrave, sommes-nous si attachés à notre travail ? Pourquoi en tirons-nous à la fois du plaisir, de la souffrance et de la fierté? C’est à partir de ces questions qu’est construit ce livre. La réalité vivante du travail a tendance à se dérober. Les mutations technologiques, les nouvelles techniques de management modifient son contenu. La précarité s’est installée, la rentabilité financière à court terme a imprégné les manières de s’organiser. Mais la résistance des salariés soucieux de bien faire leur travail a mis en évidence les dysfonctionnements générés par des stratégies incapables de répondre à leurs exigences d’être écoutés et reconnus. De nouveaux leviers d’action apparaissent: valorisation des métiers, prévention des accidents du travail et des maladies qu’il génère, création de solidarités avec des salariés précaires et isolés, démonstration de l’utilité de postes qu’une direction veut supprimer afin d’empêcher des licenciements… Autant de perspectives pour un mouvement syndical qui peut ainsi accompagner et amplifier les initiatives des salariés afin de les rendre efficaces.
Cet ouvrage, fruit d’une démarche de recherche de la CGT sur le thème «Transformation du travail et émancipation », a été coordonné par Catherine Guaspare, sociologue, ingénieure d’études au CNRS, et Jacques Léger, ancien secrétaire général de l’Union départementale CGT de l’Essonne, coordinateur du comité de pilotage de cette recherche.
BONGIORNO Yves, LE DUIGOU Jean-Christophe, MANSOURI-Guilani, NATON Jean-François, NÉDÉLEC Catherine – LEPAON Thierry (Préf.)
2013 septembre
22 x 15,5 cm, 176 p.
Editions de l’Atelier / Editions ouvrières
Mots-clés : Entreprise, Santé, Syndicalisme, Travail
2011 • LANGLET Denis - LE GARREC Jean (préf.)
Cote : LANG
Fatigue, stress, surmenage, manque de considération et de reconnaissance, promesses d’augmentation et d’évolution non tenues, ces trente dernières années les conditions de travail de millions d’hommes et de femmes ont été bouleversées. L’individualisation a remplacé le travail collectif. La mise en compétition des salariés a chassé la solidarité déjà fragile. La réussite individuelle a été récompensée. La surcharge de travail est appelée « défi », « challenge ». Dans cette ambiance, faire preuve d’indépendance d’esprit est suspect. Les nouvelles méthodes de gestion engendrent une dureté et une déshumanisation des relations de travail. Il a fallu un siècle de luttes syndicales et de combats politiques pour encadrer les conditions de travail et protéger les salariés. Mais rien n’est jamais conquis durablement, tout est rapport de force syndical et politique. Aujourd’hui, la domination totale de la finance rend l’action difficile. La rapacité est devenue priorité. Guizot disait « enrichissez-vous ». Il faudrait dire « goinfrez-vous ». La course au profit aboutit à une logique de création de capital par destruction d’emplois. Le marché détruit l’emploi. OSONS LE DIRE!
Denis LANGLET, syndicaliste, élu du personnel pendant près de 30 ans dans un grand groupe industriel international, est aussi membre du Réseau de recherche sur l’innovation. Auteur de L’Industrie dans la tourmente de la finance (2008) et de L’économie en ruine ou la fin d’une histoire (2010).
LANGLET Denis – LE GARREC Jean (préf.)
2011
176 x 12 cm, 80 p.
Bruno Leprince