Algérie : d’hier à aujourd’hui

Mots-clés : Guerre d’Algérie

6 Décembre 2019 • Mohammed Harbi

Mohammed Harbi, historien algérien, s’il vit à Paris suit néanmoins, attentivement l’actualité algérienne. Il a participé et accompagné la guerre d’indépendance de l’Algérie entre 1954 et 1963 et n’a cessé de se dire  moralement au service de l’Algérie mais avoue l’avoir perdue, tout comme son peuple. Nombreux sont ses écrits qui témoignent et analysent cette période de l’histoire de l’Algérie. Pour lui il y a aujourd’hui une régression culturelle immense et on n’imagine pas l’ampleur du désastre.

« Nouvelle-Calédonie, 4 novembre, les enjeux du référendum » Les vidéos

Mots-clés : Michel Rocard, Nouvelle Calédonie

la Nouvelle-Calédonie a profondément changé sur les plans politique, économique, social et culturel. Que représente-t-elle aujourd’hui pour un processus de décolonisation original et sans équivalent dans l’histoire?

 La soirée a débuté par la projection du documentaire de Ben SALAMA :
“Michel Rocard, un artisan de la paix” (juin 2018, 52’)
diffusé avec l’aimable autorisation de France Télévisions.

Elle s’est poursuivie par un débat avec Jean-François Merle, ancien conseiller de Michel Rocard pour l’outre-mer, autour des enjeux de cette consultation pour l’avenir de la Nouvelle-Calédonie. Initialement prévue pour 1998 par les Accords de Matignon, elle a été reportée – par l’accord de Nouméa de 1998 – à 2018.

Entre temps, la Nouvelle-Calédonie a profondément changé sur les plans politique, économique, social et culturel. Que représente-t-elle aujourd’hui pour un processus de décolonisation original et sans équivalent dans l’histoire?


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Débat
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“Nouvelle-Calédonie, 4 novembre, les enjeux du référendum” Débat avec Jean-François MERLEfrom Institut Tribune Socialisteon Vimeo.

Communistes en 1968, le grand malentendu – VIDEOs

Le 25 septembre 2018
au Maltais rouge

Rencontre ITS
avec Roger Martelli

La place, le rôle, le comportement  du PCF pendant Mai 68 ont fait l’objet de multiplies analyses et surtout d’interprétations plus ou moins sérieuses et fantaisistes.

Pourquoi le PCF s’est-il dans l’ensemble systématiquement opposé au « processus révolutionnaire » du Mouvement de Mai quitte à la fin de tenter de le canaliser dans le cadre de sa stratégie d’union de la gauche, c’est-à-dire de la voie parlementaire-électorale qu’il a toujours préconisée ?

Quelle tactique, quelles relations avec la CGT, avec le pouvoir gaulliste, avec Mitterrand, avec Moscou ? Cet ensemble de questions n’a jamais été clarifié.

Historien confirmé du communisme français , Roger Martelli a étudié tous ces aspects à partir des archives du PCF. Il a aussi analysé les relations – très conflictuelles – avec le PSU qui a posé au PCF des problèmes tout au long de cette période…

C’est sur l’ensemble de ces sujets que Roger Martelli apportera des éléments souvent inédits qui seront autant de sujets de réflexion pour aujourd’hui…

Discussion

La dette, arme de dissuasion sociale massive – La vidéo

Conférence de Jacques Rigaudiat le 20/09/2018 au Maltais rouge La dette publique est, avec le taux de chômage, l’une des données dont l’évolution est suivie avec le plus d’attention. A cela une raison : le ratio dette publique/PIB est le principal «critère de Maastricht».

 Avec Jacques Rigaudiat

Economiste et conseiller-maître honoraire à la Cour des comptes a été directeur de cabinet du ministre de la Fonction publique, directeur des études et de la statistique de l’ANPE et conseiller social de deux Premiers ministres, Michel Rocard et Lionel Jospin.

La dette publique est, avec le taux de chômage, l’une des données dont l’évolution est suivie avec le plus d’attention. A cela une raison : le ratio dette publique/PIB est le principal «critère de Maastricht». Ainsi, alors que la dette publique est supposée ne pas devoir être supérieure au chiffre fatidique de 60% du PIB, il est aujourd’hui largement dépassé. La dette française est désormais proche de 100%. Rapport après rapport, le pire est prédit si les déficits budgétaires, ou de la sécurité sociale, ne sont pas réduits. Faut-il s’en inquiéter ? Que coûte réellement la dette ? Que se passera-t-il si les taux d’intérêts, aujourd’hui historiquement bas, se mettent à remonter ? L’auteur répond à ces questions et met en évidence les données cachées des rapports. Il en va de ceux-ci comme des contrats d’assurance, l’important est dans les notes de bas de page ou dans les annexes ! La dette de la sécurité sociale sera bientôt remboursée et les taux d’intérêts actuels sont l’occasion pour l’Etat de mettre plusieurs dizaines de milliards de côté. La dette n’est donc pas ce que l’on en dit. Elle sert d’arme de dissuasion sociale massive.

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