1978 • FIZE Roland, RICCIOTTI Henri
Cote : FIZE
LE DRAPEAU ROUGE remplacera-t-il LE DRAPEAU TRICOLORE ? L’ECLIPSE AURA-T-ELLE LIEU? Le rideau de fer à la frontière espagnole ? La France le désire-t-elle ? Ce livre reflète l’éventualité du danger qui s’annonce. En le lisant vous aurez la révélation des preuves irréfutables qui nous amènent à constater l’horrible réalité que nous risquons de vivre ensemble. Vous découvrirez la plus grande escroquerie matérielle et morale du siècle, ainsi que le vrai visage du parti communiste. Le voile est aujourd’hui arraché ! Le jour où la vérité fera place aux mensonges, à l’envie, à la haine, à l’orgueil, le jour où chaque français aidera ses semblables à mieux comprendre les difficultés du moment, ce jour-là, la France connaîtra un essor nouveau, l’âge de la prospérité sera enfin une certitude et l’union du peuple de France une réalité. FIZE Roland. — Boulanger-Pâtissier. 33 ans, né à Nîmes (Gard) dans une famille d’ouvriers. II a été très tôt confronté à la vie politique. Jeune syndicaliste, il a exercé des fonctions de conseiller juridique et de secrétaire général des Boulangers du Gard. Le Communisme et le Marxisme sont des problèmes qu’il connaît bien. RICCIOTTI Henri. — 49 ans, né à Entraigues (Vaucluse). Issu d’une famille dans laquelle les communistes sont en majorité par tradition, Henri Ricciotti a été mêlé à la politique dès son plus jeune âge. C’est donc en spécialiste qu’il parle du communisme et qu’il le refuse pour la France et les hommes en général.
FIZE Roland, RICCIOTTI Henri
1978
13 X 20 cm, 272 p.
Lettres du Monde
Mots-clés : pouvoir, Staline, Théâtre
1978 • LARDREAU Guy
Cote : LARD
La bouffonnerie s’imposait à moi. dès lors que je voulais parler, disons grossièrement, du «pouvoir», comme la seule langue sans doute qui n’y soit pas tout à fait impropre. Si du pouvoir l’on ne peut rien dire de vrai, le comique seul, me semble-t-il, permet d’y toucher d’une façon qui ne soit quand même pas trop inadéquate, d’en dire quand même quelque chose qui aille à l’essentiel. Mon Staline ne prétend à aucune «vraisemblance historique». Sa vérité, s il y en a une, est ailleurs. Je ne pense pas, donc, que Staline s’intéressât aux petites filles – ni qu’il ait été assassiné. Ou plus exactement, je n’en sais rien, et ça ne m’intéresse pas. Disons, d’un mot. que si ce n’est à aucun titre une pièce historique, j’avais l’ambition d’écrire une pièce d’Histoire. G. L. Guy Lardreau est l’auteur du Singe d’Or (1973) et, avec Christian Jambet, de l’Ange (1976). Il enseigne la philosophie à Auxerre.
LARDREAU Guy
1978
20,5 X13 cm, 190 p.
Grasset
Mots-clés : Photographies, Sartre, Simone de Beauvoir
1978 • Liliane SENDYK- SIEGEL - (Commentaires de Simone de Beauvoir)
Cote : SART
Nombreuses photographies
Liliane SENDYK- SIEGEL – (Commentaires de Simone de Beauvoir)
1978
21 X 27 cm, 112 p.
Gallimard
Mots-clés : Avenir, Campagne, Démocratie, Démographie, Économie, Energie, Enseignement, Progrès, Ville
1978 • Alfred SAUVY
Cote : SAUV
Les années 1978 et 1979 représentent, pour la France, une période essentielle. Quels que soient le ou les partis au pouvoir, le pays devra prendre un virage important et peut-être décisif, dans le domaine économique. L’économie française, en effet, vit ingénument sur sa lancée. La facilité à laquelle elle s’est trop laissée aller lui a permis de bénéficier de certains progrès, mais, faute d’avoir amorcé à temps les innovations nécessaires, le pays va affronter de graves troubles économiques et sociaux. Pour les éviter, s’impose une mutation profonde, dont la France a les moyens. A travers les jours difficiles qui l’attendent, elle peut se construire un avenir neuf. Cette grande mutation doit avoir deux pôles essentiels : la jeunesse et la lumière, c’est-à-dire la connaissance. Devant la persistance du chômage et de l’inflation, les incertitudes de l’écologie, la pénurie d’énergie, il faut, tout en adaptant les habitudes économiques à notre temps, prendre conscience du vieillissement de la population qui pèse sourdement, clandestinement, sur les institutions et y remédier. Enfin, et par-dessus tout, le peuple souverain doit pouvoir prendre connaissance de ses propres affaires, contrairement à l’obscurantisme et aux mirages actuels. La lumière n’est-elle pas la condition même de la démocratie ? Plus que jamais, Alfred Sauvy, grâce à une vue en profondeur des problèmes de l’économie, nous propose des solutions claires et novatrices. Professeur honoraire au Collège de France, Alfred Sauvy, reçu à l’École polytechnique en 1920, s’est spécialisé dans les études de prévision économique et de population. Il a créé et dirigé l’Institut de conjoncture, puis l’Institut national d’études démographiques. Depuis 1946, il représente la France aux Nations Unies (Commission de la Population) et depuis 1947, il est membre du Conseil économique et social. Il est l’auteur de nombreux ouvrages, dont Croissance zéro ?, la Fin des riches et L’Economie du diable (Calmann-Lévy).
Alfred SAUVY
1978
23 X 15 cm, 288 p.
Calmann-Lévy