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Pour une autre politique de l’eau

Mots-clés : Agriculture, Eau, Energie, Environnement, Logement, Transport

1982 - Février • KERDAVID - GRIVEAU - TREGUER - CAUTAIN - CLERC - THIEBAUT - MARQUER

Cote : PSU-DOC

I° PARTIE – Pour «vivre, produire et travailler autrement» : une autre gestion de l’eau 1. un autre choix énergétique 2. une agriculture à contre-courant 3. produire autrement dans l’industrie 4. les transports le canal à grand gabarit 5. habiter autrement 6. les loisirs 7. la protection contre les crues 8. La gestion des espaces naturels 9. des eaux continentales aux eaux marines II° PARTIE – Les moyens spécifiques d’une politique de l’eau 1. l’inventaire des ressources 2. Les institutions • les agences de bassin • d’autres comités de bassin • les services techniques • une nouvelle répartition de compétences • les usagers 3. la distribution de l’eau • affectation • l’eau en bouteille • la qualité • les quantités d’eau potable • le prix de l’eau et sa péréquation • la socialisation de la distribution des eaux • l’épuration 4. l’aménagement des eaux L’eau dans le Tiers-Monde

KERDAVID – GRIVEAU – TREGUER – CAUTAIN – CLERC – THIEBAUT – MARQUER
143
1982 – Février
29,7 x 21 cm, 20 p.

Le bel avenir de l’Etat providence

Mots-clés : Écologie, Environnement, Etat, providence

2014 Mai • LAURENT Eloi

Cote : LAUR

Un essai remarquable et très original qui redessine l’espace de l’État Providence. L’État Providence ne doit pas s’effacer devant la société de marché, mais doit à l’inverse être réfléchi et ré-enrichi à la lumière des évolutions profondes de nos sociétés. A la lumière notamment de l’accroissement des inégalités dans le monde et de l’essor des crises écologiques. La protection sociale contribue à l’affaissement moral des individus ? C’est faux : elle assure leur bien-être. L’Etat Providence bride le dynamisme économique et écrase de ses insupportables charges la création de richesse et l’innovation ? C’est faux : il favorise la prise de risque, développe les capacités humaines et maintient la cohésion sociale. L’Etat providence est insoutenable financièrement ? C’est faux : il n’a jamais provoqué la moindre crise économique. Depuis trente ans, l’Etat Providence n’est envisagé que sous l’angle de sa crise et son inéluctable effondrement. Ce discours inquiétant se veut performatif : on espère préparer ainsi les esprits au recul inévitable et pour tout dire souhaitable de la mutualisation des risques sociaux. Réfutant fermement le déclinisme social ambiant (« nous mourrons ensevelis sous le poids de notre Etat Providence »), ce livre laisse entrevoir non seulement la consolidation sociale mais la perpétuation écologique de l’Etat providence : l’état actuel des insécurités sociales comme la menace de celles, écologiques, qui sont déjà là et grandissent à l’horizon conduisent à penser que nous allons vers un renforcement global de nos protections collectives, dans le sens exactement opposé à ce que nous indique une vulgate néolibérale en bout de course.
Éloi Laurent est économiste à l’OFCE et enseigne à Sciences Po-Paris ainsi qu’à la Stanford University. A l’automne 2013, il était chercheur et professeur-invité à l’Université d’Harvard. Il a notamment publié La nouvelle écologie politique : économie et développement humain avec Jean-Paul Fitoussi (Seuil) et Social-écologie (Flammarion).

LAURENT Eloi
2014 Mai
19 X 12,5 cm, 156 p.
Les liens qui libèrent

Que faire… des partis?

Mots-clés : Africains, Capitalisme, Citoyens, Drogues, Environnement, Partis, Projet, Verts

2006 • Luc BOLTANSKI - Dominique BOULLIER et Eric MACÉ - Jacques ION - Anne COPPEL - Francis-André WOLLMAN - Joël MARTINE - Benoît RIHOUX - Evelyne DAMM JIMENEZ - Bruno VILLALBA - Jean NKE NDIH Notes sur Bernard Manin, Jacques Rancière et François Bégaudeau

Cote : Revues – C

Plus de cent ans après le « Que faire ? » de Lénine, en 1902, la mise en question de la forme parti est indispensable. Lorsque les cosmopolitiques se proposent de contribuer à la composition d’un monde commun, elles sont loin de tout modèle guerrier sous-entendu dans le terme même de militants. Pourtant. il faut bien passer à la décision mais aussi à la désignation de responsables, à la sélection des candidats aux élections, candidats bien vivants avec leurs , leurs compétences et leurs passions et pas seulement porte-parole abstraits d’un programme. Le malaise des militants est particulièrement vif en France et dans tous les secteurs de la représentation (politique, associative ou syndicale). Les tentatives pour faire de la politique autrement ne semblent pas avoir porté leurs fruits pour l’instant chez les Verts par exemple…
Sommaire: Les changements actuels du capitalisme et la culture du projet (Luc Boltanski) Au-delà des partis? (Dominique Boullier et Eric Macé) Mobilisations militantes et représentation politique (Jacques Ion) Drogues: la politique introuvable (Anne Coppel) Le scientifique et le politique (Francis-André Wollman) Les mouvements citoyens face aux effets pervers de la démocratie représentative (Joël Martine) Faire le deuil de la politique autrement pour les Verts? (Benoît Rihoux) Journal de campagne Contributions aléatoires de l’écologie politique à la représentation politique (Bruno Villalba) L’environnement, cause commune des Africains contre les intérêts privés des hommes politiques Note de lecture sur B. Manin: Principes du gouvernement représentatif Note de lecture sur J. Rancière: la haine de la démocratie Note de lecture sur F. Bégaudeau: Un démocrate, Mick Jagger, 1960-1969

Luc BOLTANSKI – Dominique BOULLIER et Eric MACÉ – Jacques ION – Anne COPPEL – Francis-André WOLLMAN – Joël MARTINE – Benoît RIHOUX – Evelyne DAMM JIMENEZ – Bruno VILLALBA – Jean NKE NDIH Notes sur Bernard Manin, Jacques Rancière et François Bégaudeau
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2006
24 X 16 cm, 176 p.
Apogée

Qu’est-ce que l’écologie politique? La grande transformation du XXI° siècle

Mots-clés : Biodiversité, Crises, Développement soutenable, Écologie, Effet de serre, Environnement

1999 • LiPIETZ Alain

Cote : LIPI

L’écologie politique est-elle une science ou une orientation politique ? Et pourquoi pas une morale ? Parle-t-elle de la nature, des plantes, des animaux ? Ou des femmes et des hommes, de leurs rapports entre eux, à leur environnement ? Quel rapport l’écologie politique nourrit-elle avec ces mouvements du XIXe siècle, eux aussi mouvements sociaux et sciences sociales, comme l’hygiénisme et le socialisme (ou la sociologie) ? Faut-il opposer une écologie « sociale » à une écologie « profonde » ? C’est à toutes ces questions que répond Alain Lipietz dans cet essai. Pour lui, l’écologie politique ne nous propose pas pour le XXIe siècle, comme l’avancent certains, le désespoir d’une dégradation inéluctable, ni le seul appel à une conversion individuelle. Elle offre avant tout les bases prometteuses d’une politique écologique de l’environnement, du travail, des rapports internationaux. Elle ne se contente pas de sonner le tocsin. Elle propose déjà des outils, réglementaires et économiques, pour parvenir à un modèle de développement soutenable, « assurant les besoins de tous, à commencer par ceux des plus démunis, sans compromettre les droits des générations futures à satisfaire les leurs ».

LiPIETZ Alain
1999
19 X 11,5 cm, 128 p.
La Découverte

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