Successeur d’Alain Rocher en tant que secrétaire de la section ESU/Lyon en 1966, Georges Tissot montre que les ESU étaient des militants étudiants aux côtés des militants syndicaux et ouvriers.
Successeur d’Alain Rocher en tant que secrétaire de la section ESU/Lyon en 1966, Georges Tissot montre que les ESU étaient des militants étudiants aux côtés des militants syndicaux et ouvriers.
On n’adhère pas aux ESU mais au PSU, les ESU n’étant que les sections du PSU en milieu étudiant. On adhère pour des raisons idéologiques ou politiques, ou encore pour faire prendre en compte les difficultés d’organisation de l’Université dans un monde en profonde mutation.
La section ESU/Lyon est partie prenante de toutes les luttes : Guerre d’Algérie et combat antifasciste, militants actifs contre la guerre du Vietnam, présents dans le Mouvement de Mai, occupation du Journal « Le Progrès »…ainsi que le raconte Alain Rocher.
Les étudiants PSU de Nanterre, en particulier dans le département Sciences Humaines ont occupé une place importante dans le mouvement de Mai et après.