Exclu après Mai 1968 du PCF et de la CGT, il adhère au PSU. Dans les débats du PSU, il est avec le courant marxiste-révolutionnaire pour que le Manifeste autogestionnaire du PSU du congrès de Toulouse en décembre 1972 soit un programme de transition, en rupture avec le capitalisme et pour l’autogestion socialiste. Son épouse Martine, médecin dans le quartier populaire de Planoise à Besançon, le rejoindra un peu plus tard.
Avec Martine, il quitte le PSU en mai 1977 pour constituer les comités communistes pour l’autogestion (CCA) puis la FGA, l’AREV et « Les Alternatifs ». C’est Martine qui sera la candidate de ce courant « écolo-alternatif » à Besançon et adjointe [ou élue locale] aux maires successifs de Besançon pendant 22 ans.